10 mai 2012
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Hier les esclaves étaient dans les champs, aujourd'hui ils sont loins mais sont toujours présents.
Nous avons aboli l'esclavage en France puis nous l'avons encouragé en commerçant avec des pays qui ne respectent pas les droits de l'homme.
Le refuser, ce n'est pas leur rendre leur dignité mais au moins ne pas participer à leur exploitation.
Nous ne sommes pas des consommateurs mais des concitoyens alors, en ce 10 mai, autorisons nous, au moins, à pleurer de honte.